Aah, quelle plaisir de gambader à Paris avec ce gros truc sur les bras. On souffre, on peste, mais une fois chez soi, on admire la qualité. C'est fou ce qu'on pouvait faire dans les années 50 (même si cet objectif n'était pas vraiment fait pour le commun des mortels).
mercredi 19 mars 2014
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