Les soviets dans les Vosges

Séjour éclair dans les Vosges pour humer le grand air et admirer un magnifique paysage de montage sous un ciel clément.

Entre vallées et sommets, j'ai roulé, roulé...et me suis très souvent arrêté pour prendre la photo.

J'avais emmené dans ma besace mon Jupiter-6 sur le 5D, et mon Mir-1 37A sur le Nex.

Voici quelques photos prises :

Kristina au Helios-40

En ce mercredi de temps mitigé, j'ai pu retrouver Kristina, une charmante copine russe, que j'avais déjà eu la chance de prendre en photos en novembre 2012 (voir ici).

Aucune surprise concernant l'objectif, c'est encore une fois le Helios-40 qui fait le boulot.

Jupiter-6 au naturel

Avec un temps comme ça, on ne peut pas rester les bras croisés. Un coup de voiture, et me voilà en campagne pour faire prendre l'air au Jupiter-6 160mm, ainsi qu'au Tair-11 13,3cm (photo 2).

Masha

Masha, pétillante amie d'Odessa récemment arrivée en France, m'a rendu visite à Paris. Sans vraiment appeler ça une séance photos, je me suis permis quelques portraits au Helios-40 85mm/1.5.

Moret sur Loing

Des choses et d'autres au Jupiter 6, autour et à l'intérieur de Notre-Dame de la nativité.

Toutes les photos sont passées par la case photoshopage.

Maria, un jupiter-6, un peu de soleil

Cachotier comme je suis, je me suis bien gardé de vous dire que j'ai passé l'après-midi photos d'hier en compagnie de Maria, une amie qui fait également un peu de photo. Munie de son Canon AE-1 et d'un Canon 35mm/2, elle shootait au rythme de l'argentique.
Pendant ce temps, j'aurais pu prendre en photo des tours, des rues et des ponts, mais c'était sans compter l’irrésistible force qui attire la mire de mon appareil photo vers des sujets féminins.

Voici donc une série de portraits faits au Jupiter-6 180mm/2.8 :

Après-midi photos à Paris avec le Jupiter 6

Et quelle après-midi!

L'objectif est de très bonne qualité, très peu de défauts (on notera seulement du fringing à pleine ouverture).
La focal de 180mm ne m'était pas du tout familière. Je ne peux pas dire pour les capteur APS-C (pas testé sur le NEX), mais sur le FF, c'est très intéressant : des sujets relativement éloignés peuvent être facilement isolés, et les perspectives sont un peu "écrasées", ce qui ouvre un nouveau champ de composition.

Bref, très bonnes impressions.

Par contre, si vous voulez faire des photos soli-solo discrètos dans un coin de rue, il faut éviter le Jupiter-6. Une personne sur deux me regardait avec de grands yeux lorsque j'avais l'objectif en main (et un gros cylindre d'acier chromé d'aluminium (merci Thierry Hacquard) se voit de loin). Cela dit, je n’exclue pas l'idée que ce soit la souffrance sur mon visage (il faut le manipuler, l'engin) qui ait attiré les regards inquiets des badauds.

Bref, voici les photos prises à la sueur de mon front :